44 milliards de dollars, c’est le montant que Elon Musk a sorti pour racheter la plateforme sociale Twitter. Au début on a cru à une plaisanterie qui s’est transformé en achat effectif quelques semaines après l’annonce. Caprice ou véritable choix économique, la question se pose mais les paris sont ouverts quant aux répercussions sur l’avenir de la plateforme.

 On pourrait dire que l’homme richissime a racheté le media à partir duquel il a envoyé des tweets, démarche après laquelle il a été rappelé à l’ordre par les organismes de régulation américains car ce qu’il a écrit était des informations à caractère financier. Or, leur divulgation enfreint les lois du marché. Il faut donc qu’il fasse attention à sa communication.

Voici ce qu’il a écrit :

« La liberté d’expression est le fondement d’une démocratie qui fonctionne, et Twitter est la place publique numérique où sont débattues les questions vitales pour l’avenir de l’humanité » « Twitter a un potentiel extraordinaire, je vais le débloquer. »

Mais quand Elon Musk invoque la liberté d’expression, il pense égoïstement surtout à la sienne. Le chef d’entreprise ne supporte pas qu’on lui fixe des limites.

La communauté mondiale twitter comprend 330 millions d’utilisateurs réguliers. On comprend donc les craintes quant à l’utilisation qu’en fera son nouveau patron